Studio HARCOURT

- La démarche artistique du Studio Harcourt repose sur un principe fondamental : faire du sujet la figure centrale de l’image, sans artifice superflu ni mise en scène distrayante. L’objectif n’est pas de capturer un instant naturel ou spontané, mais de construire un portrait maîtrisé, où chaque paramètre (lumière, posture, cadrage, expression) est contrôlé pour produire une image valorisante et intemporelle.
Le studio applique une approche quasi standardisée du portrait : pose assise ou trois-quarts, regard franc vers l’objectif, expression neutre à légèrement grave. Cette neutralité expressive permet d’effacer les éléments contextuels ou émotionnels pour concentrer l’attention sur les traits du visage, traités comme une sculpture par la lumière.
Ce style s’oppose volontairement aux approches plus documentaires ou narratives. Le Studio Harcourt n’interprète pas le sujet, il le met en valeur selon des codes esthétiques constants et assumés. C’est cette cohérence visuelle — volontairement décontextualisée et centrée sur la personne — qui fait la singularité de leur signature photographique. - Marque de fabrique : Claire-obscure
- Formations proposées
- ATELIER PHOTOGRAPHIQUE : https://www.studio-harcourt.com/ateliers-studio-harcourt
- Masterclass de Photo Portrait : https://www.the-artist-academy.fr/photo/1496501-masterclass-photo-studio-harcourt
- Instagram : https://www.instagram.com/studioharcourt
- Site web : www.studio-harcourt.com
- Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Studio_Harcourt
- YouTube : www.youtube.com/@studioharcourtparis5323
Dans les exemples de photo qui suivent, je tente de décomposer l’image d’origine, en différente section de nuance de gris. La première image est l’image originale, la seconde contient 2 nuances, puis 4, puis 8.
Ce me permet de mieux comprendre comment le studio Harcourt travail, comment ils positionnent les lampes, et de mieux visualiser les ombres. Autre point intéressant, on peut remarquer qu’en fonction du positionnement des lampes, la peau fini plus ou moins contrasté. Par exemple, le visage de Johnny ou Jean Dujardin, avec juste huit nuances, on a une impression de détail sur le visage. Cela ne retrouve pas autant sur le visage de Mika et encore moins sur le visage de Laetitia Casta. Cela la laisse à supposer que la lumière était positionné de façon plus éloignée et donne une impression de peau plus douce.



















